mardi 10 août 2010

même pas peur des optimistes !



Michel Marini avait douze ans en 1959. C’était l’époque du rock’n’roll et de la guerre d’Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau. Dans l’arrière-salle du bistrot, il a rencontré Igor, Léonid, Sacha, Imré et les autres qui avaient passés le Rideau de Fer pour sauver leur peau. Cette rencontre bouleversa définitivement la vie du jeune garçon. Parce qu’ils étaient tous d’incorrigibles optimistes.

Le Club des incorrigibles optimistes est le premier roman de Jean-Michel Guenassia et aussi son premier Goncourt (des lycéens, mais tout de même).
Je n'étais pas emballée quand j'en ai entendu parlé pour la première fois. Les longs portraits sont souvent ennuyeux mais mais ici c'est tout le contraire. Je me suis faite embarquée en 1959 avec Michel et je ne l'ai pas lâché ! La chronique est surprenante, les personnages attachants et le style d'écriture entraînant.

1 commentaire:

SuperPouce a dit…

Oui, j'en avais vaguement entendu parler de celui-là, 'fin je connaissais le titre quoi...:)

Le fait qu'il ait eu le Goncourt Lycéen me rassure un peu car au premier abord, comme toi en fait, il donne l'impression d'être un pavé pas évident et pas des plus drôle...Donc à mettre dans la PAL c'est ça ? (Pile A Lire ^^)